Soldat de l'an II deux
Parler d'un hôtel en évoquant une carte des vins peut sembler bizarre mais c'est bien la raison qui pousse les grandes tables à associer restauration et hébergement.
Le Soldat de l'An II n'échappe pas à ce qui est presque une règle quand l'établissement ne se trouve pas dans une grande villle comme Strasbourg par exemple.
Quand la carte des vins ou des alcools en général est bien fournie, on se souvient du temps où on pouvait boire plus de deux verres et e pas devenir blanc à l'idée de rentrer chez soi. On en rentre donc plus chez soi, on loue la chambre qui se situe deux étages au dessus de la salle de restaurant et on peut se laisser aller à une consommation d'alcool mois raisonnable.
Il n'est pas question ici ni de chercher l'ivresse ni de renouveler la déraison fréquemment mais de pouvoir profiter pleinement du repas et de l'exception du moment.
Le nombre de chambre est réduit mais chaque chambre est un petit nid douillet au goût bourgeois et aux matériaux riches. On a si bien mangé, ce n'est tout de même pas pour dormir dans un Formule 1 !
Pour compléter le tableau, on notera toutefois que le petit déjeuner comporte une portion généreuse de foie gras (même excellent nous n'avons pas réussi à le finir) et une omelette aux truffes fraîches râpées à table devant nous. Juste la meilleure que j'aie mangée ...
Vue de la chambre
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