Artemisia ou la Vagabonde

Artemisia ou la Vagabonde

Opéra

Pour notre dernier jour, mes collègues voulaient visiter un musée ou dans le style. La dernière fois nous visitions le musée d'Orsay et pour cette fois j'ai choisie de visiter l'opéra Garnier.

 

Dés que l'on rentre dans l'Opéra, nous sommes transportés par les fastes de ce monument. C'est juste splendide.

Une visite simple mais grandiose pour les yeux.

 

Je n'ai pas eu la chance de voir un spectacle mais le lieu, son petit musée et sa bibliothèque sont déjà tellement impressionnants (mention pour les maquettes des décors).

 

QUELQUES EXPLICATIONS....

 

 

Une fois franchie la rotonde des abonnés, le bassin de la Pythie conduit au grand escalier et à la somptueuse nef de trente mètres de hauteur. Cette nef, bâtie en marbres de diverses couleurs, abrite les degrés de l’escalier à double révolution qui mène aux foyers et aux différents étages de la salle de spectacle. En bas de l’escalier, véritable théâtre dans le théâtre, deux allégories féminines tenant des bouquets de lumière, accueillent les spectateurs.

 

 

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Dans la tradition des théâtres à l’italienne, la salle de spectacle en forme de fer à cheval dite à la française, en raison de la disposition des places selon leur catégorie, a été conçue pour voir et être vu. Sa structure métallique masquée par le marbre, le stuc, le velours et les dorures, supporte les 8 tonnes que pèse le lustre de bronze et de cristal équipé de 340 lumières. Le rideau de scène a été réalisé par les peintres-décorateurs de théâtre Auguste Rubé (1817-1899) et Philippe Chaperon (1823-1906), selon les indications de Charles Garnier. Le rideau a été remplacé à l’identique en 1951 puis en 1996. Le plafond peint par Marc Chagall et commandé par le Ministre de la Culture André Malraux a été inauguré le 23 septembre 1964.

 

 

 

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À l’extrémité d’une longue galerie se trouve la rotonde du glacier, rotonde fraîche et lumineuse ornée d’un plafond peint par Clairin (1843-1919) figurant une ronde de bacchantes et de faunes, complété de cartons de tapisserie illustrant divers rafraîchissements ainsi que la pêche et la chasse. Terminé après l’ouverture du Palais Garnier, ce salon évoque l’esthétique de la Belle Époque.

 

 

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14/04/2016
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